05 décembre 2006

Réponse aux conseils bienveillants

A bien y penser
je ne sais si le tt un chacun me mettant en garde de trop boire ou faire d'excès...
ne sais a quel point g pu remplir ma vie d'une manière ou l'autre.

G aimé, su être aimé,
compris et appris beaucoup de la nature humaine, des femmes (la distinction peut être prise comme humoristique...) de l'homme et ce concernant de ce que notre culture lui demande d'être.

g créé, aimé la création, eu envie d'y participer, et apprécié la découvrir.
aimé ma famille, peut être aurais je pu en fonder une mais il semble que je ne sois de ceux qui participe à la subsistance de l'espèce.

G su apprendre beaucoup, faire partager ce savoir, l'interpréter et par dessus tt le transformer de maniere a l'ameliorer quand j'en eu été capable.

qu'importe..
De ne croire en une suite de l'existence après la mort je me sens libre après tt cela de laisser place.... alors je poursuis mon chemin et adviendra ce que doit advenir....

04 novembre 2006

alcool et melancolie

Thom yorke the eraser Harrowdown Hill

1 litre de rhum dans le bide et la mélancolie au coeur.
L'envie de bien faire et la déception de tout se mêlent.

Je resterais ce que je suis , inutile jusqu'au bout
comme chaque secondes de mon existence , piètre et turbulente...
L'envie de toutes, la vie de personne, l'envie de rien, la vie de nuls....

Je me dessert et je me fou du reste comme rien ne sert a personne...
rien a faire, juste tenter la manipulation pour reprendre
ce que je perds contre mon gré...

Grésille ses basses sur mon transistor délabré,
la masse s'amoncelle, et pèse le poids des peurs!!
Je meurt!!

Une nouvelle gorgée de rhum et plus rien ne m'échappe
ainsi la perfidie de mon coeur et celle d'une autre...

Pour différentes femmes un sentiment identique
ou pour un sentiment identique, différentes femmes...
La solitude.... et merde!!!

06 octobre 2006

A l'ancienne...

Du haut des ses longuets soupires,
décelle et pis, pense aux sourires
de celle à qui ses doigts se firent
légers et tendres comme un couteau.

"J'ai dû forcer, la caresser,
par la taille la tenter aux corps,
tromper ses peurs et par le glaive
couvrir sa chaire, couvrir ses mots!"


Tant est-il dit qu'à lui la belle,
non plus encquise à être sienne
qu'en songe pour elle qu'elle sait audieux,
eut bien fini par dire adieu.

"Je m'estourdis de tant de haine!"
confesse l'homme le visage blème.
"que tant d'efforts et stratagèmes
n'eurent point les effets escomptés!"


Pensait il peut être ainsi à la combler?
De par la force et non par la bontée?
Que d'être un homme pétri de puissance n'est
qu'un us depuis si longtemps négligé?

16 mars 2006

L'architecture d'une vie peut être bien mal inspirée...

Maléable comme la lumière du soir
mon humeur s'étiolle parfois au désespoir
et c'est de cette immense applanitude
que sans pleinitude je fends les heures de la vie.

Que la colombe semble planche quand celle-ci surplombe mon corps
et que de son vol tenace immite le charognard - croque mort,
crevard patenté mais soutenu,
enterrera l'après bien avant la sigüe.

La faute est indigne, l'erreur reconnue,
le pardon distillé et le coeur fendu
je laisse fuir les pleurs comme les perspectives
en présence d'amis...tous bien entendus....

20 janvier 2006

autrement...mais quoi!

"Et s'il en était autrement,
ou autrement dit, s'il n'en était pas ainsi...
Les routes, les pauses et le temps qui file."

Ca lui arrive parfois de s'octroyer un répis à ce vieil ascète:
quelques secondes de rêve oppulant, debordant,
populaire et digéré de glaires libérales...

La vie s'effilochant au rythme d'une étreinte puissante
baignée d'une lumière pourpre et délicate mais
il s'avère complexe de ne pas s'oublier ainsi...

La gueule ouverte et de la bave mousseuse
s'en échappant l'ascète ne respire plus...
la mort s'est emparrée de son âme et laisse à terre
le corps qu'il s'était astreint à maintenir pur.

pure connerie!
Les lumières de la ville scintillent au loin
et celle du soir renaîtra demain...
aucune philosophie ne supporte l'usage du temps!